Les jours de pluie, je me souviens
de l’espace entre mes cils :
des flaques d’eau où je sautais enfant.
Plus rien ne trouble la surface.
De quel côté suis-je remontée ?
Au fond du ciel, mes yeux en miroir
me regardent regarder, interrogateurs.
Crayonnage avec une rondelle de poésie
Les jours de pluie, je me souviens
de l’espace entre mes cils :
des flaques d’eau où je sautais enfant.
Plus rien ne trouble la surface.
De quel côté suis-je remontée ?
Au fond du ciel, mes yeux en miroir
me regardent regarder, interrogateurs.
J’aime beaucoup, particulièrement la première phrase… Superbe !
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Merci beaucoup Laurence, pour votre lecture ☺️
Floriane
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Bonjour Floriane, j’aimerais rebloguer ce beau poème sur mon blog sur ce mois de la poésie, si vous êtes d’accord. j’ai bien pris connaissance de votre autoportrait mais accepteriez-vous de vous présenter en quelques mots à cette occasion ?
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C’est très gentil de votre part ! Avec plaisir. Que souhaitez-vous savoir de plus ?
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Je ne sais pas vraiment. LIbre à vous, peut-être quelque chose de plus court, de plus concentré.
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A reblogué ceci sur Litterama, les femmes en littératureet a ajouté:
Floriane poétise, oscille entre écriture et gravure… Laisse des empreintes qui lui ressemblent.
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C’est un très beau texte remontant de l’enfance.
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Merci 😊
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