Derniers jours pour participer… « Sherlock est sur le coup ! »Agenda ironique – juillet 2018

Invitée par Carnets Paresseux à chapeauter l’Agenda Ironique #7, après avoir surmontée l’excitation et la peur, j’ai l’honneur de vous proposer de faire revivre Sherlock Holmes, et de rédiger une aventure inédite dans un texte de votre convenance (poésie, prose, court, un peu long…).

Bien sûr, pour juillet, j’aurais pu vous demander de rentrer dans la tête de la Petite Sirène ou autre personnage littéraire (Emma Bovary ou encore Meursault), mais non.

Enfin, si vous y tenez, rien ne vous empêche de les faire intervenir comme client du célèbre détective…

Pour opiacer tout cela, 7 mots – ou leurs variantes – sont à introduire : phrénologie / porcelaine / chute / microscope / inondation / corde – and last, but not least – pangolin.

On m’avait déjà posée un pingouin la dernière fois (cf. Agenda Ironique #6) : pourquoi ne pas parler ce mois-ci de cet adorable et étrange animal ?

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Si vous aimez le violon, la fraîcheur du fog et le suspens, n’hésitez pas à participer et à laisser les liens vers votre participation en commentaire ci-dessous. Vous voterez à la fin du mois pour votre texte préféré : celui qui vous aura donné envie de commencer la pipe au beau milieu de l’été ?

Dernière ligne droite : je vous donne encore 48h (jusqu’au 25 juillet minuit) pour laisser un lien vers votre participation ci-dessous, dans les commentaires ! Au plaisir de vous lire – retardataires mais non les moindres !

 

70 commentaires sur “Derniers jours pour participer… « Sherlock est sur le coup ! »Agenda ironique – juillet 2018

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  1. C’est prometteur.
    Du pingouin, passer au pangolin.
    De l’un à l’autre il n’y a qu’une fourmi qui les sépare je crois. 😉
    Si en plusse elle vient de Limoges…
    Et qu’elle a la tête bien faite, 😉
    C’est absolument convaincant.
    L’opiacerie des sept mots annonce déjà la déjante toute Sherlockienne.
    Je file détectiver l’enquête de ce pas.
    Avec une idée sérieuse en tête, une sérieuse idée, une spéciale sérial très sérieuse enquête.

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  2. Eh bien, ça promet des belles réjouissances, que cela !

    Mais… pour l’anglophobe pas anglophile que je suis, kézako « corde – and last, but not least » ? parce que moi, madame, je s’pique pas l’anglé je comprends rien.

    J’ai demandé à ma loupe
    Si elle pouvait un peu m’aider
    Elle m’a dit « J’ai pas l’habitude
    De m’occuper des cas comme ça »…
    Lalalala lala lalère/ère

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      1. J’imagine que oui puisque certains ont réussi 😉 Mais comment ? Je crois que l’on peut le faire par mail ou dans le fil de nos lecteurs préférés. As-tu essayé en glissant ta souris en bas à droite de la page ? On te propose de t’abonner (normalement). J’espère que tu vas y arriver !!!

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  3. J’en suis là. À suivre. Ou pas.

    — Il me le faut ! s’écria Sherlock Mohles en pointant le bout de sa canne vers un volume fortement relié, dans la devanture étroite d’un libraire de Pangolin Street. Voyez cela, mon cher Waston : Le mystère de la tasse aux deux anses…
    — Ce qu’il nous faudrait, mon cher Mohles, c’est un bon thé aux agrumes versé dans une porcelaine délicate ! lui répondit le brave docteur, la moustache frissonnante.
    Mais Mohles était entré dans la librairie et ne l’écoutait déjà plus.
    — Je voudrais faire l’acquisition immédiate de cet ouvrage, claironna le détective en direction de l’homme qui devait être le propriétaire des lieux, debout derrière un pupitre en bois encombré d’un long registre et de tout un orchestre de factures.
    Intéressé depuis plusieurs années par les théories controversées mais néanmoins perturbantes de la phrénologie, il avait déduit d’une observation rapide et avertie du commerçant que celui devait être timide, pervers et probablement doué d’une imagination fantasque. Il avait donc pris les devants, soustrait le livre au titre énigmatique qui faisait le pied de grue dans la vitrine et l’avait posé au beau milieu d’une colonne de chiffres parfaitement calligraphiés.
    — Ah, le Mystère… se plaint aussitôt le bouquiniste. C’est que je puis pas vous le vendre.
    Et il posa aussitôt sa main, vieille mais autoritaire, sur la couverture en cuir.

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    1. Une atmosphère excellemment bien rendue : j’ai l’impression de connaître la boutique 😉 Pour la suite, mettez seulement ici l’adresse du lien vers votre site wordpress où vous aurez édité l’intégrale de votre aventure mohlesienne. Bien à vous, et vivement la suite…

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  4. Bon jour,
    Diantre, c’est pas gagné … faut avoir des compétences de détective … et suis déjà incapable de résoudre le moindre rébus, alors écrire une aventure sur ce genre … et puis 7 mots à placer … va faire chaud pour le pantotin … panlogin … pangotin … pangolin … bref … je vais prendre le frais en attendant … 🙂
    Max-Louis

    Aimé par 1 personne

      1. Oui, la précarité des dispositifs demande à être testée.
        Il conviendrait de se donner quelques recommandations.
        Si le dispositif est opérationnel, tu seras en mesure de le confirmer le lendemain en donnant un tout petit signe de vie datée et tamponnée, cachet ministériel faisant foi.
        Sinon, nous en déduirons plusieurs choses.
        1 Que tu n’es pas en mesure de nous avertir
        2 Que ta vie n’est ni datée ni tamponnée, ce qui rend tout signe invalide
        3 Que le théorème de Moriarty est quasiment aussi distordu que son inventeur
        4 Qu’une enveloppe de survie datée d’une temporalité temporaire peut être dépêchée à ta recherche.

        Je te souhaite une excellente lecture en toute zénitude.

        🙂

        Aimé par 1 personne

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